Totalisateur: 14906 | Partiel: 280 |
Un temps parfait ! Ni trop chaud, ni trop froid; des routes sèches; pas de feuilles mortes sur la route et pas de feuille aux arbres (donc bonne visibilité). Quoi d'autre ? Ah oui: du soleil et encore du soleil. En passant par un village au milieu de l'après-midi, un thermomètre indiquait 20 degrés. Et ce n'est pas une blague pour ce premier jour d'avril: on se croyait en été.
Pour sa première balade de l'année, Cap Moto nous a dégoté un itinéraire sympa empruntant quelques routes inconnues (ce qui devient de plus en plus difficile d'après les organisateurs) pour nous promener le long de la Semois et terminer par la Meuse.
Cap Moto a l'habitude de nous trouver des petites routes bien tranquilles mais aujourd'hui tous les motards de Belgique étaient de sortie. Résultat: des motos partout, plus ou moins bien pilotées ! Entre ceux qui se promènent à du 80 km/h et d'autres qui prennent la route pour un circuit, il y a nous qui préférons prendre notre temps pendant les haltes et rallier les étapes à allure soutenue.
Quelques photos... dans quelques semaines
Totalisateur: 15514 | Partiel: 1406 |
Rendez-vous à 9h30 pour un départ de la station Shell sur l'autoroute de Paris, juste avant la frontière française où Philippe, Didier, Alberto puis Henri et Bernadette m'ont rejoint. C'est sous un ciel très bas et une température encore plus basse (pour la saison) que notre voyage en Normandie a démarré. Un voyage qui allait nous occupait pendant 3 jours de bonne humeur malgré le mauvais temps.
Le premier jour nous amenait tranquillement jusqu'à notre hotel en passant par la côte que nous avons rejoint à Le Tréport. La traversée du département de la Somme nous a montré l'ampleur des dégats causés par les innondations sans trop géner notre avance: quelques déviations à cause de routes innondées. C'est vraiment à partir de Dieppe que la côte nous a montré tous ses charmes, avec visite obligatoire (?) à Etretat. Nous avons traversé la Seine par le pont de Normandie, gratuit pour les motos, pour continuer par Honfleur, Trouville, Deauville, Houlgate et Cabourg par des routes devenant noins intéressantes jusqu'à Courseulles-sur-mer: trop de circulation sur ces routes très étroites empêche de rouler à bonne allure à moto.
Nous sommes arrivés vers 20h00, après plus de 10 heures de route et un peu transis par le froid. Didier nous avait réservé un séjour en demi-pension et nous avons dû nous changer en vitesse avant de rejoindre le restaurant pour notre repas du soir. C'est là que j'ai décidé de laisser tomber mon régime strict afin de bien profiter de la bonne cuisine... et surtout des desserts ! Après un bon repas donc, nous avons terminé la soirée par une petite promenade sur la digue avant de rejoindre nos chambres pour un sommeil réparateur.
Réveil à 7h30 puis petit-déjeuner à 8h30: voilà bien la preuve que nous sommes des gens civilisés. Malgré la pluie,
nous sommes partis vers 9h30 pour continuer à longer la côte en direction de Arromanches où nous avons visité
le musée du débarquement. La pluie ne voulant pas se relâcher, nous avons opté pour une autre visite: celle de
Bayeux et de sa patisserie tapisserie très réputée. On peut être motards et assoifés de culture !
La pluie s'étant arrêtée pendant notre visite culturelle, nous avons repris la route avec l'espoir de pouvoir
enfin rouler un peu. Après un arrêt de midi à Balleroy pour des motards assoifés mais aussi affamés, nous avons continué
la route en rencontrant des averses plus ou moins fortes mais aussi de forts beaux paysages.
Nous devions terminer la journée par la Suisse Normande mais une dernière drache ayant sérieusement entamé mon moral, j'avais décidé de rentrer à l'hotel plus tôt que prévu. Il a fallu le support des autres pour que je continue la route. Heureusement d'ailleurs, car cette partie de la Normandie vaut le détour. Ses petites routes tortueuses et ses beaux paysages... sous un soleil retrouvé m'ont vite remonté le moral. La balade s'est terminée par un retour tardif à l'hotel et avec la sensation d'un devoir accompli. La dernière averse a complètement transpercé mes gants mais c'était trop tard pour gâcher la journée.
Encore une fois, nous avons eu droit à un très bon repas suivi d'une promenade sur la digue pour certains, d'autres préférant aller tout de suite au lit. La journée avait était dure et il fallait préparer le retour du lendemain.
Etant toujours civilisés, nous avons suivi le même horaire que la veille; en effet, les routes promettant d'être assez roulantes, il n'était pas nécessaire de partir trop tôt. Après 2 journées pendant lesquelles Didier nous avait guidés de main de maître, j'ai pris le relais pour la lecture du road-book. Nous avons empruntés des nationales et des grandes départementales donc il fallait faire attention aux radars (sales bêtes) qui peuvent piquer les permis.
Cette fois-ci, pour traverser la Seine, nous avons emprunter le pont de Tancarville tout aussi gratuit que le pont de Normandie pour les motos. Au lieu de longer la côte comme à l'allée, nous avons longer la Seine plus ou moins fidèlement. A partir de Rouen, nous avons pris la direction de Beauvais puis, après un bon petit repas à Gournay, nous avons emprunté la D930 pour rejoindre Roye. Malgré quelques averses de pluie et de grêle, nous avons bien roulé pour rejoindre Maroilles vers 18h00, lieu que nous avions fixé pour le verre d'adieu.
Philippe est rentré directement chez lui en prenant l'autoroute à Mons, suivi de Didier après un café. Alberto et moi avons préféré suivre Henri et Bernadette jusqu'à Montignies pour continuer par les petites routes pour ensuite rentrer par des chemins bien connus.
Quelqu'un a dit: "une journée n'est jamais perdue si elle a apportée son lot d'enseignements". Cette phrase est très appropriée pour ce long week-end pascal pendant lequel nous avons appris que:
En tous cas, merci à tous les participants pour une super ambience et des bonnes parties de rigolade.
Totalisateur: 16951 | Partiel: 431 | road-book |
En préparation de la balade SWIFT du 1er mai, je me suis lancé tôt de dimanche avec Henri et Didier en reconnaissance de l'itinéraire afin de ne pas avoir de surprise le jour même.
Si le brouillard était bien présent à 8h30, il s'est vite dissipé pour laisser passer le soleil vers 9h30. Le trajet par la E411 pour rejoindre le point de départ ne fut donc pas trop pénible mais il faut noter que la température matinale reste bien froide pour la saison.
Le road-book que j'avais préparé nous faisait partir du Truck Stop sur la N87, juste à la sortie 29 de la E411, en direction de Virton. Didier m'a suggéré d'ajouter un passage par Avioth pour voir la basilique avant de s'arrêter à l'abbaye d'Orval. Nous ne l'avons pas visité aujourd'hui mais cela est prévu pour le 1er mai. Pour rejoindre Rochehaut, j'avais prévu de contourner Bouillon par le nord. Après une déviation à Florenville, nous avons emprunté la N83 pleine de motards avant de bifurquer vers Dohan sur des routes plus tranquilles. Nous avons rejoint Rochehaut à 13h00 pour un repas rapide avant de poursuivre le long de la Semois.
Passage en France pour continuer la descente de la Semoy et faire un deuxième crochet imprévu vers le Roc de la Tour au niveau de Monthermé. Le retour vers la Belgique s'est fait à Couvin après être passé par Revin et Rocroi. Un itinéraire somme toute bien connu mais très agréable grâce au soleil et l'absence de pluie.
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